l'Hymen est un lien charmant

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Cet air porte le n° 361 dans la 3e édition de la Clé du Caveau, sous le titre l'Hymen est un lien charmant ou sous celui de Air des compagnons de voyage (d'après respectivement le premier vers du premier couplet et le dernier de chaque couplet).

 

Il constitue la romance de Dormeuil (interprétée par Solié à la création) dans l'opéra d'Isouard (1805) Léonce ou le fils adoptif, sur un livret de Marsollier des Vivetières.

L'hymen est un lien charmant,
Lorsque l'on s'aime avec ivresse ;
Et ce n'est que dans la jeunesse
Qu'on peut s'aimer bien tendrement.
C'est un gentil pèlerinage,
Que l'on entreprend de moitié :
Peines, plaisirs, tout se partage ;
L'amour, l'estime et l'amitié,
Sont les compagnons du voyage

chansons de ce site utilisant cet air : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 ; toutes ces chansons ont un point commun : leur dernier vers évoque celui de l'air d'origine.

 

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