Planète du Maçon

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Cette page est la p. 47 de La Lire Maçonne.

 

 

 

Que l’Ordre qui nous enchaîne
A nos cœurs offre d’attraits !
La jalousie & la haine
Ne nous affectent jamais :
L’amitié la plus parfaite
Dirige nos sentimens ;
C’est-là l’unique Planette
Qui domine sur nos sens.

 

 

 

 Votre zele nous désigne
Vos aimables qualités,
Freres, rangez-vous en ligne,
Et vous serez enchantés ;
Quand l’astre qui nous éclaire
Se plongera dans les eaux,
Vous recevrez le salaire
De vos pénibles travaux.

On trouve la même chanson dans divers recueils du XVIIIe, dont celui de Jérusalem en 1752 (p. 116, avec l'indication d'air Ton humeur est, Catherine - air dont la partition est identique à celle ci-dessus).

On la retrouve aussi (p. 115), avec la même indication d'air, dans un recueil de 1782, à part qu'au 2e couplet le vers Frères, rangez-vous en ligne y est amélioré en Assemblez-vous sous ce signe

Colizzi a repris ce texte dans ses Canons, sous le n° 4.

Sous le même titre, on la trouvait aussi (pp. 136-7) dans les Liederen der Orde van St. Peter, mais avec une partition différente :

On trouve aussi cette chanson dans la Muse maçonne de 1806, avec le même texte que dans la Lire.

On la retrouvera en 1806 dans le recueil d'Eleusine (p. 18), mais Frères y est remplacé par Mes Soeurs.

 

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