Temple de la candeur

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Ces pages sont les pp. 230 (229 dans l'édition 1763) et 231 de La Lire Maçonne.

La chanson sera reprise (p. 106) au recueil de Sophonople.

On la retrouvera en 1806 (pp. 133-5) dans la Muse maçonne. Et, la même année, elle sera recopiée de là dans le recueil d'Eleusine (pp. 39-40)

 

 

 

Temple de la Candeur.

 

 

Air : Un petit coup de malheur.

 

 

Icí nous suivons les loix, 
De l'amitié la plus pure, 
Et nous écoutons la voix, 
De la naïve nature.

C'est dans ces lieux qu'on voit encor
Les plaisirs de l'âge d'or.

 

 

 

Dans nos concerts, dans nos jeux,
La vertu toujours préside ;
Sur les moïens d'être heureux,
La sagesse est notre guide.
C'est dans ces lieux qu'on voit encor
Les plaisirs de l'âge d'or.

 

 

 

Cet asile est habité
Par une aimable décence,
Il n'est jamais infecté
Du poison de la licence.
C'est dans ces lieux qu'on voit encor
Les plaisirs de l'âge d'or.

 

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