An unsere Schwestern

Ce charmant lied de Naumann intitulé An unsere Schwestern (à nos Soeurs), dont l'incipit est Seyd gegrüsst, verehrte Schönen (Salutations, chères beautés), est le n° 21 (pp. 70-73, reproduites ci-dessous) de son recueil Vierzig Freymäurerlieder.
C'est aussi, sous le titre An die Schwestern, le n° 106 (pp. 266-7) du deuxième volume (1799) de l'Auswahl von Maurer Gesängen de Böheim.
Selon Magvas, ce lied, qu'il réfère sous le n° 49, date de 1781/82 et l'auteur du texte est von Hymmen.
Il figure d'ailleurs aussi (sans partition) dans les Zwölf neue Freymäurerlieder de von Hymmen (pp. 10-11).
Il semble s'adresser à des soeurs en humanité plutôt quà des soeurs en maçonnerie.
Merci à Jean-Piere *** pour son aimable traduction.
|       | XXI. AN UNSRE SCHWESTERN. 
 
 Seyd gegrüsst, verehrte
      Schönen, 
 O wer fühlt nicht mit Entzücken 
 Milde, doch beredte Küsse 
 Singet Lieder – und wie lüstern 
 Seht’s wie Euch geschäftge Hände 
 Wisset aber, unsre Zellen 
 Wißt, wenn wir uns da verschanzen, | XXII. A nos Soeurs 
 
 Salutations, chères beautés, 
 Oh ! qui ne ressent pas avec
      ravissemennt 
 Doux baisers mais pourtant discutables 
  Chantez des chants 
 Voyez comme vos mains actives 
 Mais sachez que nos loges 
  Sachez que, quand nous vous protégeons | 

   
