Ch½ur après le travail

 Cliquez ici pour entendre le fichier midi de la partition de Grétry, séquencé par Alain la Cagouille

Les seules éditions que nous connaissions de cette chanson au XVIIIe datent toutes les trois des années 1780.

Les deux premières sont à Berlin dans les deux chansonniers publiés par Le Bauld-de-Nans :

La chanson sera recopiée de là à la p. 473 de l'édition 1787 de la Lire maçonne, mais sans mention d'air.

En 1806, on retrouvera le texte de la chanson à la p. 297 de la Muse maçonne de 1806. Et, la même année, il est recopié (la première image ci-dessous est celle-là) dans le recueil d'Eleusine (p. 65) ; ni l'une ni l'autre de ces deux éditions n'indique d'air, ce qui ne nous étonnera pas puisque nous savons que la source de ces deux recueils est la Lire (éditée aux Pays-Bas), qui est muette à ce sujet, et non la Lyre (éditée à Berlin).

Ch½ur après le travail

 

A l'instant nous rentrons
Dans le chaos du Vulgaire.
De la lumière
Conservons les rayons !
Des sots les cris funèbres
Fondront sur nos leçons,
Au milieu de leurs ténèbres
Soyons toujours des Francs-Maçons.

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