Derniers vœux

En cliquant ici, vous entendrez cet air, séquencé par Alain la Cagouille

La première publication de ce cantique est dans le recueil des Vrais Frères Unis du Locle en 1842, aux pp. 45-6.

Le texte sera recopié en 1865 (pp. 44-5) dans le Recueil de La Bonne Harmonie de Neuchâtel.

On la retrouve (images ci-dessous) aux pp. 33-5 du Recueil Alpina de 1901, qui en donne aussi une partition, alors que les éditions précédentes se contentaient de mentionner Air : de Joseph.

1.

Source ineffable de lumière !
Permets que ton divin flambeau
Nous précède dans la carrière,
Et nous guide jusqu'au tombeau.
Lui seul peut nous montrer la route
Qui conduit au parlait bonheur ;
Sans lui tout n'est qu'erreur, que doute,
Et l'esprit égare le coeur.

2.

Ah ! fais qu'au sortir de ce temple,
Sanctuaire de vérité,
Chaque Maçon donne l'exemple
De la plus vive charité.
Tu leur imposes le précepte
De s'aimer mutuellement ;
Fais que chacun de nous l'accepte
Et le suive fidèlement.

3.

Frères ! quelle que soit la secte
Dont nous suivons l'opinion,
Songeons que le grand Architecte
Ne veut qu'amour et qu'union.
Pénétrés de reconnaissance
Pour ses innombrables bienlàits
Recueillons nous dans le silence,
Et puis retirons-nous en paix.




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