Zech

 

On peut voir à la p. 8 de ce document (revue maçonnique Bauhütte de Leipzig) de 1890 que les éditeurs brémois Praeger et Maier (dont nous savons par la p. 8 de cet autre document de 1893 qu'ils étaient maçons) ont publié, de Jul. Zech, la partition (pour choeur d'hommes ou pour voix et piano) Maurers Herbstlied dont on voit par ailleurs que l'incipit est Fällt mir einst des Lebens Laub.

Ce lied figure dans la liste (comprenant 50 opus, dont plusieurs édités par Praeger) des oeuvres de Zech inscrite (incomplètement) au vol. 19 (lettre Z, p. 25) du Universal handbook of musical literature de Franz Pazdírek.

Le du 12 février 1881 de la même revue maçonnique Bauhütte donne (pp. 1-2) le compte-rendu de la Tenue d'inauguration, le 23 janvier, du nouveau Temple de la Loge brémoise Friedrich Wilhelm zur Eintracht (cette Loge, fondée en 1874, existe toujours, sous le n° 436). 

On y voit que Julius Zech était le Leiter des Logen-Gesang-Vereins (conducteur de la chorale de la Loge), et qu'il avait composé pour la circonstance, sur des vers du Frère Barthels, une cantate dont il dirigea l'exécution, avec accompagnement orchestral, et qui fit une profonde impression sur les 300 Frères présents.

Nous n'avons malheureusement pas trouvé d'autres détails sur ce compositeur ni sur cette partition, et serions particulièrement reconnaissant à qui pourrait nous en fournir. Nous n'avons même pas ses dates de naissance et de décès, mais nous savons que sa carrière de compositeur s'échelonne au moins entre 1853 et 1895.

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