Ne v’la-t-il pas que j’aime

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Cet air, sous les titres alternatifs J'avais toujours gardé mon coeur, Que l'on goûte ici de plaisirs et Ne v'là-t-i pas que j'aime, porte le n° 396 dans la 3e édition de la Clé du Caveau. Son air fut souvent utilisé ; par exemple, d'après le Choix de chansons galantes d'Autrefois de Paul Marion, publié sur le site les classiques des sciences sociales de l'Université du Québec, les Mémoires secrets des continuateurs de BACHAUMONT écrivent le 20 octobre 1777, à propos d'une chanson qui l'emploie : Voici une des chansons recueillies pour amuser M. le comte de Maurepas et qu'on chante à ses soupers, qui ne sont rien moins qu'austères ... 

La Lire maçonne donne à sa p. 318 une chanson sur cet air, avec une partition qui effectivement coïncide (au ton près).

 
chanson(s) de ce site utilisant cet air : 1, 2, 3, 4, 5

 

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