A la santé des Surveillants

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Cette chanson est la quatrième de la série des Santés francophones du chansonnier de Ruysch. 

Ici non plus, celui-ci ne fait pas preuve d'une grande originalité (ni d'un grand talent) :

Texte original de Desessarts 

Aux lumières de l’Occident,
Rendons un légitime hommage ;
Leur zèle actif, intelligent,
Sans cesse éclaire notre ouvrage ;
Sous leur équerre et leur compas,
On voit mille chefs-d’oeuvre éclore ;
Nos ateliers doublent d’éclat,
Quand l’urbanité les décore.

Texte de Ruysch

Frères Maçons rendons hommage,
Aux étoiles de l'occident,
Qui embellissent notre ouvrage
Par leurs travaux intelligents
On voit mille chefs d'oeuvre éclore
Sous leur équerre et leur compas,
Quand l'urbanité la décore
Nos ateliers doublent d'éclat.

Texte original

Créons des vers d'une beauté suprême !
Mais non ... fuyons de trop pompeux discours ;
Pour rendre hommage à ce qu'on aime,
L'élan du coeur suffit toujours.

Texte de Ruysch

Créons pour eux des vers suprêmes.
Mais non, point de pompeux discours ;
Pour rendre hommage à ce qu'on aime,
La voix du coeur suffit toujours.

Voir ici sur l'air du petit Matelot.

Chant n° 11

A la santé des Frères Surveillants

Air : du petit Matelot

 

1.

Frères Maçons rendons hommage,
Aux étoiles de l'occident,
Qui embellissent notre ouvrage
Par leurs travaux intelligents
On voit mille chefs d'oeuvre éclore
Sous leur équerre et leur compas,
Quand l'urbanité la décore
Nos ateliers doublent d'éclat.

2.

Ce sont des vrais et nobles modèles ! [ndlr: faute de versification !]
Soutiens de la Fraternité.
Toujours actifs, toujours fidèles
Dans le temple de l'amitié
Créons pour eux des vers suprêmes.
Mais non, point de pompeux discours ;
Pour rendre hommage à ce qu'on aime,
La voix du coeur suffit toujours.

D. L.

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