pour le Vénérable

  Cliquez ici (midi) ou ici (mp3) pour entendre le fichier de l'air Lison dormait dans un bocage, dans la version du manuscrit Berssous

  Cliquez ici (midi) ou ici (mp3) pour entendre le fichier de l'air Lison dormait dans un bocage, dans la version Casadesus

L'édition 1787 de La Lire Maçonne contient cette chanson à la p. 271, qui par rapport aux éditions antérieures est (partiellement) libérée par la compression, sur une page et demie, de la chanson précédente, commençant à la p. 270.

C'est une expression un peu familière du thème, fréquent, de l'affection entretenue pour le Vénérable.

Sous le titre Couplets pour le V. M. de la Loge, on la trouve aussi (pp. 108-10) dans les Liederen der Orde van St. Peter, mais avec le remplacement du vers D'un si zélé Maître que ça par D'un MAITRE tel que celui là et avec une partition qui, à peu de chose près, est équivalente à celle que nous connaissons sous le titre Lison dormait dans un bocage.

La chanson sera reproduite à la p. 162 de la Muse maçonne de 1806.

pour le V. M. d'une Loge.

 

Air : De Lison.

 

Votre présence, Vénérable
Répand ici, ranime là, 
Une gaîté pure & durable, 
Que tout Maçon partagera. 
Quelle douceur, pour nous, d'entendre
Chanter partout, ah ! le voila !
Il est comm'ci, il est comm'çà :
 Il veut, enfin, toujours se rendre
Utile ici, bienfaisant là ; 
Rien ne lui plait tant que cela.

 

Chacun de nous devrait, sans cesse,
Vanter par-ci, louer par-là,
La bienveillance & la sagesse
D'un si zélé Maître que ça
Puissent nos voeux, vraiment sincères,
Nous mériter, dans tous les cas,
Qu'il veuille-ci, qu'il veuille-là,
Nous entr'aider dans nos mystères :
Car il peut-ci, car il peut-là
Nous applanir mille embarras.
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La lire maçonne
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