Cantique
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Dès le XVIIIe, on trouve des chansons maçonniques sur l'air (qui est aussi connu comme celui de la fête des bonnes gens) l'Amitié vive et pure.
Ce cantique-ci (dont chaque couplet se termine par La fête des Francs-Maçons, au lieu de la fête des bonnes gens comme à l'original ; le procédé sera repris par Bazot) provient des pages 37 à 39 du recueil édité par Desveux en 1804.
Quatre mots dans le texte sont mis en évidence par des italiques : deux fois le triplet Sagesse, Force et Beauté, et Vivant : il s'agit évidemment du mot latin, le pluriel (qu'ils vivent !) à répéter trois fois de la traditionnelle acclamation Vivat.
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CANTIQUE
Sur l'Air : l'Amitié vive et pure.
Je
sais que la satyre
Souvent un Vaudeville
Un Profane sincère
L'appât
trompeur du vice
Dans le monde on révère
An sein de l'opulence
Voit-on toujours à table
Un faible intérêt brise,
Pout l'Ordre, pour nos
Frères, |
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