Chanson

Cliquez ici pour entendre l'air donné par la Lire pour une partition équivalente

 

Ces pages sont les pp. 57-8 du recueil de Jolly. La chanson est apparentée, tant par la partition (qui est identique) que par le texte (qui a des points communs), avec celle des pp. 148-150 de La Lire Maçonne, laquelle était elle-même basée sur celle des pp. 78-80 de Naudot. 

Le 1er couplet reprend le 7e de la Lire plutôt que la version (à proscrire puisque l'on y rencontre des Soeurs !) que donne Naudot dans son 8e. 

Le 2e est l'équivalent du 2e tant de la Lire que de Naudot.

Le 3e est le 8e de la Lire et le 9e de Naudot, mais en remplaçant le Maître de cette Loge par le Grand Maître de nos Loges.

Seul le 4e couplet nous semble nouveau : nous ne l'avons en tout cas repéré nulle part ailleurs.

Quel plaisir de voir ensemble
Les Frères si bien unis :
L'innocence les assemble,
Elle en fait de vrais amis ;
Sans cette vertu tout semble
N'offrir que d'affreux soucis.

Par la tranquille innocence
Ce séjour est habité,
Du poison de la licence
Jamais il n'est infecté,
Et c'est toujours la décence
Qui règle la volupté.

 

Du Grand Maître de nos Loges,
Chantons l'aimable douceur,
Aucun Frère ne déroge
Sous son Empire enchanteur ;
Nos vertus font son éloge,
Et nos plaisirs son bonheur.

 

Sous ce Soleil favorable
Je vois naître les désirs
Sa lumière incomparable
Echauffe nos doux plaisirs,
Jamais leur essaim aimable
N'est suivi des repentiers.

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