L'union maçonnique

En cliquant ici (midi) ou ici (mp3), vous entendrez cet air, séquencé par Alain la Cagouille

La première publication de ce cantique est dans le recueil du Locle de 1842, aux pp. 14-5. 

Le texte sera recopié en 1865 (pp. 14-5) dans le Recueil de La Bonne Harmonie de Neuchâtel.

On le retrouve (images ci-dessous) aux pp. 6-7 du Recueil Alpina de 1901, qui en donne aussi une partition, alors que les éditions précédentes ne portaient aucune indication.

1.

Par les noeuds les plus sincères
Tous nos coeurs sont réunis ;
Oui, tous les Maçons sont frères ;
Les maçons sont tous amis !
De l'un à l'autre hémisphère
On révère ce beau nom ;
Les souverains de la terre
S'honorent d'être Maçon.

2.

Que la plus douce harmonie
Règne toujours dans nos coeurs ;
Occupons-nous dans la vie
A corriger nos erreurs.
Vivons pour la bienfaisance,
Soulageons les malheureux ;
Des Maçons la jouissance
Est de faire des heureux.

3.

Ah ! si chez l'être vulgaire
On méconnaît ce beau nom ;
Si toujours il vit en guerre,
C'est qu'il n'est pas Franc-Maçon !
Dans ce temple respectable
Nous jouissons de la paix ;
Notre très-cher Vénérable
La consolide à jamais.

4.

Toi, qui connais la lumière,
Ah ! n'éteins pas son flambeau !
Des vertus suis la carrière,
Et suis-la jusqu'au tombeau.
A tes serments sois fidèle,
Devant Dieu tu l'as promis.
Des Maçons sois le modèle,
Et nous serons tes amis.



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